Pour une sexualité responsable et indépendante, les méthodes contraceptives sont importantes. Il y en existe une panoplie : hormonal, intra-utérin, barrière, naturelle ou d’urgence. On peut demander conseil auprès d’un docteur, mais également dans les centres de planning familial, les pharmacies, ou au CRIPS.

Les moyens hormonaux

Les contraceptifs hormonaux opèrent en relâchant dans l’organisme des hormones en bloquant l’ovulation. On décline la pilule contraceptive sous le format d’une plaquette comprenant 21 cachets ; l’implant : une tigette de 3 à 4 centimètres qui se pose sous le derme du bras ; le patch : un quadrilatère qui se fixe sur la peau ; l’anneau vaginal : un anneau flexible et opalescent : et la piqûre contraceptive qui s’injecte à intervalle continu, et efficient 3 mois. Il y a aussi les techniques intra-utérines comme le stérilet : hormonal ou au cuivre, un petit bâton en plastique mis à l’intérieur de l’utérus faisant obstacle à la fixation de l’ovule féconde.

Autres modes de contraception

On parle aussi des modes barrières telles que le préservatif : un tissu de latex que l’on applique sur la verge en érection juste avant l’acte sexuel ; le condom féminin : une sorte de peau en latex avec un anneau à chaque bout qui se met dans le vagin : le diaphragme : une calotte de caoutchouc placé intimement dans le vagin. À l’inverse du préservatif, il peut être usité nombreux fois. Et les spermicides : qui se déclinent en crème, gel, tampon ou éponge. Les spermicides ressemblent à des mélanges chimiques qui vont détruire les spermatozoïdes. On décline la contraception appelée naturelle. Elle résulte sur la connaissance des diverses étapes du cycle menstruel. Cependant, sa vertu est minime. Il existe le calendrier menstruel, la technique des températures. Sans oublier la contraception d’urgence ou pilule du lendemain se décline dans l’absorption d’un ou de deux cachets à l’extremum 72 heures après l’acte non couvert par une contraception.